Des aides pour lutter contre la précarité énergétique peuvent, sous conditions, être accordées à des ménages à faibles ressources. Les informations sur le Fonds de Solidarité pour le Logement (FSL) sont accessibles via cette page.
Tarif social : les ménages bénéficiant de la Complémentaire Santé Solidaire (ex-CMU-C) peuvent bénéficier d’un tarif de solidarité spécifique (gaz) et d'un tarif de première nécessité (électricité), permettant de faire des économies sur le coût de l’abonnement et sur la consommation.
Mon "Projet Renov" est "un service public mis en place par Nantes Métropole en partenariat avec les acteurs de la transition énergétique du territoire. Il s’adresse à tous les particuliers, propriétaires ou locataires, qui souhaitent réaliser des travaux de rénovation de leur logement ou de leur copropriété, afin de réduire leurs factures d’énergie, améliorer leur confort et valoriser leur bien, quels que soient leurs revenus". Cela comprend un accompagnement gratuit et indépendant, des conseils techniques, ainsi que des aides financières. (lien vers la page)
Appartement ou copropriétés : Nantes Métropole propose aussi des aides pour leur rénovation énergétique. (Lien vers la page)
Logements et énergie : la maison de l'Habitat (www.adil44.fr), dans sa rubrique "documentation", publie cette plaquette qui recense les dispositifs existants sur Nantes Métropole pour aider à maitriser nos consommations d'énergie.
« L’Eco-appart » est un appartement témoin, ouvert depuis mai 2016 dans le quartier Bellevue, à Nantes. Il a pour objectif de lutter contre la précarité énergétique. Des ateliers y sont régulièrement organisés pour découvrir des « trucs et astuces » pour réduire nos consommations d’énergie. (lien vers la page).
Le programme "Habiter Mieux" de l’Anah, peut aider les propriétaires bailleur à réaliser des travaux de rénovation énergétiques dans le ou les logements qu’ils mettent en location. Le logement doit être achevé depuis plus de 15 ans et les travaux doivent justifier d'un gain d'au moins 35 %, justifié par une évaluation énergétique.
Depuis mars 2024, les nouveaux "défis climat" pilotés par Nantes Métropole (en lien avec des chercheurs de l'Université Gustave-Eiffel) intègrent les thématiques suivantes : Énergie, Déchets, Alimentation, Numérique, Loisirs, Consommation, Mobilité, Qualité de l'air, Eau.
Décembre 2024 : Afin de produire et consommer 20 % d’énergies renouvelables locales en 2030 et 50 % en 2050, Nantes Métropole se dote d’une société, la SAS Nantes Métropole Énergies. Des zones ont été identifiées sur les 24 communes. pour des déploiements dès la fin 2025 sur des parkings, avec l’installation de panneaux photovoltaïques, pour une surface équivalente à trois terrains de football. Voir la page de Nantes Métropole
Énergies renouvelables - les chiffres clefs de l'ADEME : "En croissance régulière depuis plusieurs années, les énergies renouvelables représentent 13,1 % de la consommation d'énergie primaire et 19,1 % de la consommation finale brute d'énergie en France en 2020. Parallèlement, leur poids dans l'économie française s'est accru : elles sont ainsi à l’origine, en 2018, de 8,6 Md€ d'investissement et de 68 000 emplois en équivalent temps plein. Très diverses, les énergies renouvelables en France regroupent une dizaine de filières. Le bois énergie et l'hydraulique restent les plus développées, mais l'éolien et les pompes à chaleur sont parmi celles qui progressent le plus ces dernières années. Au sein de l'Union européenne, la France occupe la 17e position en 2019 pour la part d'énergies renouvelables dans la consommation finale brute d'énergie. En niveau absolu, la France est notamment, parmi les États membres, le deuxième producteur d'hydroélectricité, de biomasse solide et de biocarburants."
Le poids du numérique dans la consommation énergétique française serait de 56,5 milliards de KW-heure, selon le portail du développement durable du gouvernement. (estimation de sept. 2019). Au niveau mondial, et d'après Greenit.fr : "En 2019, l’univers numérique est constitué de 34 milliards d’équipements pour 4,1 milliards d’utilisateurs, soit 8 équipements par utilisateur. Ce taux d’équipement cache de très fortes disparités selon la zone géographique observée. En 2019, la masse de cet univers numérique atteint 223 millions de tonnes, soit l’équivalent de 179 millions de voitures de 1,3 tonnes (5 fois le parc automobile français)."
D’après une projection de l’Agence internationale de l’énergie, l’industrie mondiale des centres de données, de l’IA et des cryptoactifs devrait doubler sa consommation d’électricité d’ici 2026, générant un surplus de 37 milliards de tonnes de CO2 dans l’atmosphère (lien vers l'article)
Selon l'ARCOM, 1 heure de consommation audiovisuelle consommerait de 6 à 57 G de CO². En France et pour 2022, cela correspondrait à 1/3 de l'emprunte carbone du numérique. (lien vers l'étude + lien vers la vidéo 1'21")
L'association Virage Énergie Climat Pays-de-la-Loire a élaboré un scénario régional permettant de respecter les objectifs internationaux sur le climat, pris lors de la Cop-21 à Paris. Leur démarche s'appuie sur le triptyque "Sobriété / Efficacité / Renouvelable". (lien vers leur site, avec accès à des dossiers thématiques ainsi que des vidéos sur YouTube)
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